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Dr Hamer & Cancer : un réflexe biologique de survie. (1)

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Dr Hamer & Cancer : un réflexe biologique de survie. (1)


Une approche différente du cancer s'est développée depuis plusieurs années déjà, en particulier concernant sa dimension psycho-somatique. Le cancer n'est pas la maladie incurable qu'on s'attache à présenter au public, et la prise en compte de son aspect psychique apparaît comme une composante importante du processus de guérison.

 

 Soigner l'esprit pour soigner le corps.

 

A mesure que la médecine progresse, le malade perd malheureusement de plus en plus son identité au profit de celle de la science. Dans la plupart des cas, il n'est qu'un corps, ou plutôt des morceaux de corps accaparés par des spécialistes de plus en plus nombreux.

 

 Heureusement, après une longue période d'éclipse due à la fragmentation de la science, on est revenu, grâce à l'approche globale, à l'idée que le corps & l'esprit forment un tout, même si tous les médecins n'en sont pas encore persuadés. La plupart ne nient pas les interactions corps-esprit, mais ne reconnaissent pas le rôle déterminant des facteurs psychologiques que pour certaines maladies, comme l'ulcère ou l'asthme par exemple. Pourtant les problèmes psychosociaux et les difficultés de la vie quotidienne devraient être considérés dans toutes les maladies.

 

A l'évidence, les évènements désagréables priment les évènements agréables comme facteurs traumatiques. C'est la quantité de changement dépassant les difficultés d'adaptation de l'individu qui est à l'origine de le perturbation. Bien entendu l'évènement est d'autant plus stressant s'il vient à l'improviste et s'il est vécu dans l'isolement psycho-affectif.

 

 Les études psychosomatiques des dernières décennies tentent de prendre en compte la multiplicité des facteurs familiaux et sociaux responsables des maladies. Après les troubles fonctionnels, c'est au s troubles lésionnels qu'elles s'attachent pour déceler les composantes psychologiques qui coexistent avec les mécanismes physiques.

 

Ces études, menées un peu partout le monde, essaient de décrire les types de personnalités sujettes aux ulcères gastro-duodénaux, aux infarctus du myocarde, au pupus érythémateux disséminés, aux cancers, etc.

 

 Malgré les réticences dues à la pensée scientifique réductrice, l'unité psycho-soma, à la suite de nombreuses observations cliniques & expérimentales, ouvre une perspective nouvelle que l'on ne peut plus ignorer aujourd'hui. Les spécialistes ont longtemps cru que le système immunitaire était un système auto-régulé, sans connexion avec les systèmes endocriniens & nerveux : c'était ignorer le rôle fondamental des hormones.

 

 Alors que   les spécialistes s'attachent aux causes biogénétiques, le cancer ne serait-il pas tout simplement l'expression d'un mal de vivre et d'une détresse psychiques ?   

 

Il semblerait que selon les circonstances dans lesquelles il survient, le stress pourrait agir positivement ou négativement sur la réponse immunitaire.

Malgré toutes les recherches, la plupart des cancérologues nient le lien entre les conflits vécus par leurs patients et l'évolution du cancer dans leur organisme.

 

 La découverte capitale du Dr HAMER.

 

 En Allemagne, une découverte faite en 1981 par le Dr Hamer pourrait bien nous apporter la preuve de l'influence du psychisme sur le corps.

Dans sa thèse de doctorat, il écrit « j'avais cherché le cancer dans la cellule et je l'ai découvert dans une erreur de codage du cerveau ».

 

 D'après ce médecin, à l'occasion d'un évènement brutal & dramatique, vécu par le patient dans l'isolement psycho-affectif, et qui continue de l'obséder jour & nuit, il se produit un court-circuit dans le cerveau. La coloration psychique individuelle déterminerait la localisation d'une perturbation électrochimique dans une aire particulière du cerveau.

 

Autrement dit, le choix de la maladie et le site de son développement dépendent de la réaction émotionnelle. Le traumatisme, qui s'est inscrit dans une région cérébrale bien précises, déréglerait le cerveau-ordinateur qui ne pourrait plus envoyer à l'organe sous on contrôle les ordres corrects de fonctionnement. Les cellules, sans leurs instructions reçues du cerveau, ne peuvent plus remplir leur fonction et deviennent rapidement anarchiques.

 



08/08/2007
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